Carte d'identité
NOM :Ferilli
PRÉNOMS : Maya
DATE DE NAISSANCE : 21 juin 2000
AGE :8ans
LIEU DE NAISSANCE : Calabrio
NATIONALITÉ :Calabrienne
CLASSE SOCIALE (Riche, pauvre ..) :
DIPLÔMES SCOLAIRES & ÉTUDES :Ecolière
GROUPE (Famille Royale, Bourgeoisie, Citoyens, Gitans ..) : Citoyen
Développons tout ça ..
HISTOIRE (15 lignes minimums) :
C'est une vérité qu'on ne peut nier. Avant l'enfant, il y a les parents, et avant les parents, il y avait les grands parents. en continuant ainsi dans le passé, en remontant tout l'arbre généalogique, ça en ferait, du monde. Mais pour expliquer ce qu'est une personne, il faut aussi voir à quoi ressemble le background familial, voir dans quelles conditions ils vivaient, afin de mieux cerner la personne qu’il y a en face de nous. Maya n'échappe pas à la règle. Pour connaître tout d’elle, il ne suffit pas de connaître ses années vécues sur Terre, soit 8 ans. Non, pour connaître l'intégralité de l'histoire d'une personne, il faut remonter bien avant, du temps des parents, des grands parents même. Parce que l'histoire d'un individu ne commence pas à partir du moment où il vient au monde, elle commence bien avant, au moment de la rencontre des parents. Eux mêmes ne seraient rien s’il n'y avait pas eu les grands parents. A force de remonter ainsi, on pourrait se demander...Qui est venu le premier ? L'œuf ou la poule ? La poule, assurément. Oui. Mais la poule elle vient d'où, hein ? Elle est apparue par l'action du saint Esprit peut être ?
Dans le cas présent, il ne s'agit pas de déterminer, de l'œuf ou de la poule, qui est venu avant, il s'agit ici de constater la genèse de l'histoire de Maya. Tenons nous-en aux parents, ça suffira, nul besoin de remonter jusqu'à des époques lointaines et insipides pour raconter l'histoire que je vais vous raconter. Tenons nous en également aux personnes qui revêtent de l'importance aux yeux de Maya, pour elle, son univers se limite aux parents, incluant son beau père et son demi frère. Les oncles et les tantes sont certes importants, mais pour elle légèrement insignifiants. Le but n'est pas non plus de s'encombrer de la marmaille que représentent les cousins et autres enfants rattachés à la famille, par diverses alliances et coups du sort. Ici, mieux vaut s'en tenir aux faits. Les faits, les voici.
Tout commença par un banal fait divers. Oui, de ceux qu'on trouve dans les journaux, ce à quoi on ne s'attend pas vraiment, ce qui est légèrement glauque. La rubrique faits divers est abhorrée par la plupart des gens, car elles contiennent des infos qui ne sont pas forcément au goût de tout le monde. Après tout, qui prendrait son pied à entendre parler d'un meurtre ou d'un truc dans ce goût là ? Les parents de Maya n'étaient pas spécialement impliqués dans le fait divers en question, mais c'est ce qui a permis, entre autres, d'engager la discussion entre eux.
Lui, un gitan, Le gitan était accoudé au bar, dans un vieux pub, dans lequel jouait un vieux morceau de Blues des années quarante. Il lisait le journal, la rubrique faits divers. Il était question d'une sinistre histoire de règlements de comptes qui avait viré dans un bain de sang, pas très loin d'ici. Il referma le journal et le posa sur le comptoir. La porte s’ouvrit et laissa rentrer une jolie demoiselle, des cheveux blond légèrement bouclé, les yeux foncé, menue et assez petite. Un très jolie spécimen qui ne laissa pas de marbre le séduisant gitan. Malheureusement, cela ce remarqua très vite qu’ils n’étaient pas dans la même classe social mais passons ! Ainsi par une sordide histoire glauque commença une « jolie » histoire d’amour.
C’est ainsi que débuta l’histoire. Mais racontons cette histoire par les faits d’Elena
et sautons donc le passage de leur histoire euphorique car le happy end n’arriva pas ! Et puis tout le monde s’ennuyant en écoutant les histoires joyeuses ou tout ce passe bien. Avouer le ! Chaque individu veut entendre pire que son histoire pour –enfin- ce dire : « il y a pire ! ».
Ainsi passons directement au désespoir et au malheureux de la jeune Elena
Il entrouvrit la bouche, l’air un peu décontenancé. Ce geste me décida enfin. Avant même qu’il ne puisse protester, je collai mes lèvres contre les siennes. Le premier geste fut sans doute maladroit, même si je savais comment procéder, je ne savais pas si "Lui" était en train de répondre à mon baiser ou s’il se laissait faire. Le deuxième geste fut peut-être un peu plus … vivant. Je sentais que ses mains étaient derrière ma nuque. L'Autre fut le premier garçon avec qui j'ai échangé mon premier baiser. Oui vous savez, le vrai, le grand baiser, oui celui avec la langue et tout ça. Jamais je n'aurais pensé que ce simple échange déclencherait autant de sensations en moi. J'étais complètement euphorique. Mon cœur n’allait pas tarder à lâcher. Avant qu’il se retire gentiment, décollant (avec regret) ses lèvres des miennes. Je l’aimais plus que de raison. Ma vie entière était liée à la sienne. Il représentait mon existence. Néanmoins, au fond de nous, nous savions très bien que cette passion interdite serait difficile. Difficile à cacher, à vivre. Il n’y avait aucun happy end d’après lui. Moi, si optimiste dès qu’il posait ses yeux profonds sur moi, je m’enhardissais sur un futur commun. Dans ma naïve perception des choses, aucun futur ne m’était possible sans lui à mes côtés. J’étais le blanc, il était le noir. J’étais l’ange, il était le démon. Et pourtant, j’espérais.
Son sourire m’éblouissait, sa venue illuminait ma journée. J’étais d’une agressivité rare lorsque je ne le voyais pas durant quelques heures. Je ne pouvais pas vivre sans lui, mon attitude le démontrait clairement. Peut-être en avait-il eu peur ? Ou peut-être se jouait-il réellement de moi ? Ou était-ce simplement une pression familiale qui l’avait découragé, comme je l’avais pensé après sa perte ? Je crois que je ne le saurais jamais. Le temps s’écoulerait. Les saisons passeront, des vies seront victimes de ce temps insaisissable. Même moi, sans que je n’y puisse rien y faire. Et lorsque l’horloge de la Vie sonnera ma dernière heure, lorsque le jour, pour moi, deviendra comme la nuit, je n’aurais toujours pas la réponse à cette question. Et mes secrets s’envoleront à tout jamais. Et je les emporterai.»
Ploc. Ploc. Ploc.
Gamine hypocrite et mégalomane. jeune femme désespérément amoureuse. Adolescente amer au cœur brisé. Pour tout le monde, je suis juste Elena. Une jeune femme intelligente, sociable, sympathique, compréhensive, mature mais à l’humour surprenant quasiment constant, pétillant ou cynique selon les circonstances. Une des exceptions d’une famille d’aristos bourrée de préjugés. Si seulement, ils savaient. Les manipuler est d’une facilité déconcertante. Les plus sceptiques finissent par être bernés eux aussi, il suffit juste de patienter. Et Merlin seul sait à quel point j’ai de la patience en réserve, pour ce genre de chose.
Foutaises. L’amour n’était que passion destructrice. Insatiable, prenant par surprise et vous emmenant dans des méandres aberrants.
Si l’amour rendait heureux, si l’amour est un fleuve tranquille ou abrupt, l’Autre ne serait jamais partie.
Ploc. Ploc. Ploc.
Il était devenu un de mes défis. Défi que j’avais lamentablement perdu d’ailleurs…
A ma plus grande surprise, nous avions fini par devenir inséparable. Il connaissait toutes mes qualités, tous mes défauts. Lui, le talentueux et intelligent futur étudiant et moi la voisine au cœur d’or. Il m’a appris beaucoup de choses. Il me fascinait.
Ploc. Ploc. Ploc.
Sa présence était la meilleure de toutes les drogues. Son odeur m’enivrait, me faisait suffoquer de bien être. Il représentait ma vie. J’étais dépendant de lui. Il était mon poison. Mais, par Merlin quel poison envoûtant.
Ploc. Ploc. Ploc.
Il me disait souvent que, pour rien au monde, il ne m’aurait fait du mal. J’étais trop charmée, fascinée, par cet être si différent des personnes que je côtoyais, que je le croyais. Je ne concevais pas ma vie sans lui, étoile scintillante dans mon ciel noir. Mais lui semblait concevoir la vie sans moi, malgré toutes les promesses que nous nous étions faites.
« L'amour rend heureux. L'amour rend fou. L'amour rend beau. L'amour rend quelques fois aveugle.
Mais putain l'amour qu'est-ce que ça rend ...
Con. »
Comatose,
I'll never wake up without an overdose of You.
Dieu.- Pourquoi ?
Lui.- La vie est injuste, tu devrais le savoir.
Dieu.- Ce sont mes parents, n’est-ce pas ? Ils n’ont jamais supporté que je côtoie une "pauvre" ! Mais ils ne sont rien, RIEN, tu m’entends ?! Juste un obstacle à surmonter. On traversera pire, tant que nous sommes ensemble, nous sommes invincibles ! On partira, Oui, on partira loin, et…
Elle s’arrêta, tressaillant à l’éclat de rire sec que venait de faire son ami. Sa lèvre trembla. Elle était perdue.
Lui.- Nous ne somme pas fait l’un pour l’autre, ne sois pas si stupide.
Les paroles qu’il cracha, agirent comme de l’acide. Elle le fixait sans comprendre, se refusant de comprendre. Elle secoua la tête. Désespérée, impuissante.
Dieu.- Non arrête ça, immédiatement.
Elle ne pouvait plus supporter son sourire carnassier, un sourire qu’il ne lui avait jamais adressé. La vue de la jeune femme se brouilla lamentablement.
Lui.- Ma famille quitte Calabrio, Il semble naturel que je les suive.
Dieu.- Tes parents ont toujours adoré cet endroit. Je t’en supplie, dis-moi la vérité.
Lui.- … Tu la connais, tu sais que ça n’à rien avoir avec eux, mais nous. Nous deux, connaissons très bien la Vérité. Ne m’obligez pas à la dire à haute voix, my Queen.
Le titre dit avec tant de suffisance, et son vouvoiement soudain, firent redoubler les sanglots silencieux. Les larmes, une à une glissèrent doucereusement le long de ses joues. Comment réagirait les autres en la voyant pleurée ainsi ? Elle qui avait une grande force de caractère. Cette faiblesse lui retourna l’estomac de dégoût. Elle le voyait s’éloigner sans un mot, à tout jamais. Ses jambes se dérobèrent, elle n’avait plus le courage de tenir debout. Elle se sentait si pitoyable dans cette position, mains et genoux à terre retenant son corps frêle en cet instant, elle était sur le point de sombrer.
L’ange fut engloutit dans les ténèbres.
La jeune innocente était morte.
L’autre venait de partir.
Depuis ce jour, Bray était devenu Vérone. Une Vérone dépourvue de Roméo, mais ayant tout de même une Juliette meurtri et amer. Le conte de fée était terminé. Il s’était transformé en tragédie grecque. J’étais la version pathétique de Phèdre, amoureuse d’un Hyppolite indifférent, ou Hermione désespérée par un amour non réciproque avec Pyrrhus. Pénélope attendant, seule, un Ulysse qui ne reviendrait jamais. J’étais si…faible d’être autant touché par un simple garçon !
Il était parti me laissant seule, ou pas complètement… En effet, un petit être était né. J’avais une part de lui en moi. Elle grandissait de jour en jour, de semaine en semaine, de mois en mois, dans mon ventre, elle bougait, elle frapper. Pendant 9 mois, j’étais incapable de l’oublier lui qui m’avait tous simplement laisser, abandonné.
Evidement, il n’était pas au courant pour l’Enfant, pour Maya.
Sara.
8 ans déjà . On ne peut pas dire que je suis un enfant unique car cette histoire a dû être dite maintes fois par des millions de personnes.
Ainsi, je vis sans avoir mon père biologique près de moi. Souvent, j’essaye d’en parler a ma mère, savoir comment il était physiquement, s’ils se sont aimés, comment ils se sont rencontré … Mais je vois bien que ma mère est triste d’en parler donc je ne lui pose aucune question
Chaque enfant idole ses parents, font comme eux, les imitent, les adores et son amoureux d’eux. Quand vous écoutez les autres enfants parler de leurs pères, de leur métier, de leur loisirs, leurs hobbies, ont remarque que chaque enfants aiment les mêmes choses que leur père, veulent faire le même métier qu’eux. Maya, elle, n’a pas put connaître tous cela, elle ce sentait démunie comme avoir un bras en moins.
Elle n’avait pas un père qui la prenait dans ses bras, ou elle pouvait s’asseoir sur ses genoux, ou jouer au foot, un père qui venait la consoler quant elle pleurait.
Cependant comparés à certains enfants elle avait un beau père et un demi-frère ! Elle certes « perdu » un père mais en revanche elle avait « gagné » un beau père et un demi-frère !
RELATIONS (Les différentes relations qu'à eu ton personnage jusqu'à aujourd'hui) :A part sa famille et ses amis elle ne connaît pas énormément de gens.
FAMILLE :{ Elena Ferilli : Sa mère
{ Roberto Bertini : Son beau-père
{ Laurenzo Bertini : Son demi-frère
{ Gabrielle Fulci-Guiro : Une amie de l’école primaire
POSSÈDE DES PAPIERS D'IDENTITÉ OU PASSEPORT (Si Gitan ou clandestins, car tous les autres en possèdent obligatoirement !) : [X] Oui [ ] Non[/list]
Toi en quelques mots
CE QUE TU AS TOUJOURS DANS TA POCHE :
UN MOT QUI TE DÉFINIT SI BIEN :Sage
TATOUAGES & PERCINGS :Non
COMMENT TU TE VOIS DANS ... DIX OU 20 ANS :J'en n'ai aucune idée!
TA PIRE PHOBIE :Le vide
CE DONT TU RÊVE :Savoir qui est son père
CE QUE TU NE CHANGERAS JAMAIS :
TON PLAT FAVORI : Les pizaa mais elle préfère largement lessucreries et le chocolat
TON PLAT DÉTESTE :Les légumes
TON STYLE DE FRINGUES :Côté vestimentaire, elle préfère s'habiller de façon simple. Elle se vêtit généralement de jean avec des gilets bien chaud que Maya met par-dessus des t-shirts.
TON STYLE DE MUSIQUE :Un peu de tous
TON FILM FAVORI :
L'ÊTRE QUE TU CHÉRIS LE PLUS AU MONDE : Ses parent
LA CÉLÉBRITÉS QUE TU ADMIRE LE PLUS :Aucune
SI TU POUVAIS FAIRE REVENIR UNE PERSONNE A LA VIE :
AUTRES INFOS ://
Et toi derrière ton écran ?
AVATAR DE TON PERSONNAGE :Elle Fanning
PRÉNOM :Rim
AGE :18ans
COMMENT AS TU CONNU LE FORUM :Par un partenariat
ACTIVITE PAR SEMAINE :Assez souvent.
NIVEAU DE RP (De toute façon t'es obligé de faire 10 lignes x)) :Plutôt bon.
UN COMMENTAIRE :
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